Un
peu de sexe avec Julie nue
Julie
se met à nue. Elle enlève sa robe devant moi, ses petits seins bondissent.
Ma langue vient titiller ses petits tétons oh Julie nue pendant
que ma main se balade dans la raie de son cul. Doigte moi maintemant,
elle me dit cela alors que j'ai déjà ma langue sur sa chatte. Je
m'exécute, lèche mon index et l'enfonce dans son petit cul de salope.
Julie laisse échaper un petit rale de plaisir; son cul se tortille.
Bon je la met à 4 pattes sur le lit et passe ma langue de son sexe
humide jusquà son petit trou du cul, enfonçant ma langue dans sa
rosette un peu fripée.Encore plus profond elle baragouine entre
deux souffles. Elle a l'air plus excitée qu'une chatte à longue
queue dans une assemblée de rocking chair. C'est clair, je me dis,
elle est aussi chaude qu'une veuve endimanchée au bout de 15 ans
d'abstinence. Je baisse mon pantalon, ma bite d'un coup sec. Pour
varier les plaisirs, je demande à Julie de la lécher, de cracher
sur mon gland; ma bite luisante, je repasse derrière elle, me présente
devant son petit orifice, et lui saisissant les seins lui fait faire
un petit bond en arrière tout a fait suffisant pour que ma bite
pénètre au fond de son petit cul. Elle grogne en restant figée,
et alors que je cherche à me retirer, je vois son petit cul de salope
reculer vers moi refusant mon geste. Ha ouais je pense, alors alons-y,
et à grand coup de piston je lui défonces l'arrière train avant
de décharger au fond de son cul
Mon histoire
de cul avec Julie
Julie c'était ma coloc. On partageait un appart sympa du coté de
Convention. Et on ne partageait pas que ça d'ailleurs; pour le cul,
Julie n'avait pas beaucoup de préjugés. Comme moi, elle n'avait
pas envie de s'emmerder à draguer. Quand elle avait envie de baiser,
elle frappait à ma porte et on mettait le couvert comme ça, tranquillement.
Je baissais mon pantalon, assis à mon bureau en révisant mes cours
de physique. Julie passait sous le bureau et commençait à me sucer
la bite. Quand ma queue était bien dure, que Julie s'était bien
amusé avec mes couilles -elle aimait me les lécher, elle aimait
me les caresser, passer sa langue dessus, descendre en dessous,
lécher mon cul- donc je laissais tomber mes cours. Et là c'était
au choix : souvent je caressais les tétons des gros seins de Julie
avec le bout ma queue, elle disait comme ça que ça l'excitais. Après
je lui mordillais les tétons en lui caressant la chatte, en la doigtant,
mais je n'avais pas beaucoup de boulot à faire, son sexe à Julie
était déjà très humide. Et la, Julie posait son gros cul sur mon
bureau, écartait les jambes, posait ses pieds sur le rebord de mon
burlingue, et elle me demandait toujours de lui lécher la chatte;
en fait c'était toujours son clito qu'il fallait léchouiller. Je
m'exécutais et prenais plaisir à voir Julie s'échauffer, regarder
ses lèvres gonfler et voir son con jouir en giclant me faisait bander
à mort. Ensuite naturellement, je la baisais comme une grosse salope.
En fait Julie aimait que je la traite de salope, ça l'excitais qu'elle
me disait. Des fois je l'enculait, giclant au fond de son trou du
cul et on regardait tout les deux en riant mon sperme couler en
filet brun‰tre de son anus encore ouvert. En fait on s'amusait bien
avec Julie. Mais un soir, je rentre à l'appart avec une trique d'enfer.
Pourquoi se poser des question ? Je baisse mon pantalon, laissant
ma bite bondir hors de mon slip, énervée comme une chatte à longue
queue dans une assemblée de rocking chair. Je rentre dans la chambre
Julie : elle glande affalée sur son lit en écoutant un disque de
rap à 2 balles. Je lui présente ma queue, lui dit qu'il y a urgence.
Voilà que cette salope se lève en braillant qu'elle est pas une
pute, que pourquoi qu'elle me sucerait etcÉ Je crois rêver. Après
tous les services que je lui ai rendu, le nombre de fois ou j'ai
du l'enculer alors que j'avais du boulot. Vous me comprenez n'est-ce
pas, je suis énervé sur le coup. Alors que cette cochonne fait mine
de bouder ma bite, je l'attrape par le cul, lui enlève son peignoir
la retourne et sans lui demander son avis je lui fourre mon chibre
dans le vagin. En fait cette cochonne mouillait comme une garce.
Tu vas voir que je lui dit, et je mets à lui pilonner la chatte.
A mesure que je la ramone je vois son gros cul s'ouvrir devant moi;
j'attrape ses fesses à pleine mains enfonçant mes pouces dans son
anus en la bourrant toujours plus fort comme un marteau piqueur
entre les mains d'un Portugais abandonné de sa morue. Au moment
de balancer la sauce je me retire et décharge entre ses fesses.
Profitant du spectacle, mon sperme qui dégouline vers le trou du
cul de Julie, je présente mon gland turgescent à l'entrée de son
trou à merde et doucement pénètre jusqu'au fond de sa turbine à
chocolat
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